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Types de textes
La revue propose trois types de texte :
1) Les Comptes rendus critiques
Les Comptes rendus critiques ne sont pas de simples recensions. Ils s’appuient sur une présentation analytique de l’ouvrage ou autre document retenu (problématique proposée, argumentaire, points conceptuels et/ou méthodologiques soulevés, inscription dans le champ disciplinaire ou thématique, conclusions) pour faire une critique argumentée d’une partie ou de la totalité des thèses avancées. Il s’agit donc de situer le propos initial dans les enjeux d’actualité de la discipline et de produire une proposition originale à partir de l’analyse du document traité, de façon à contribuer aux débats dans le domaine concerné. Les mises en perspective reposant sur différents terrains et travaux peuvent être mobilisées lorsqu’elles sont pertinentes.
Les comptes rendus doivent contenir entre 25 000 et 35 000 signes (espaces, notes et bibliographie compris). Ils comportent un titre propre - se rapportant à la thèse discutée -, différent du titre du document recensé, ainsi que des intertitres.
2) Les Feuillets d’actualité
Le Feuillet d’actualité (FA) a pour objectif de rendre compte de documents ou d’événements récents et de réfléchir à leurs apports au débat anthropologique, sur un thème spécifique ou plus largement sur un champ de recherche. Sa forme est plus libre que celle du compte rendu critique. Elle permet de valoriser certaines manifestations dès qu’elles ont eu lieu et, de manière plus classique, de témoigner de la richesse de l’actualité en SHS.
La rubrique Feuillets d’actualités accueille des chroniques courtes et des recensions de documents (ouvrage, numéro de revue, vidéo, enregistrement musical, etc.) ou d’événements récents (colloques, séminaires, journées, etc.). Ces FA rendent compte, de façon synthétique, du contenu du document ou de l’événement discuté (titre, équipes engagées, objectifs et questions posées, etc.), puis elles ouvrent sur les questions que ce document ou cet événement posent à la discipline anthropologique.
Les Feuillets d’actualité n’excèdent pas les 16 000 signes (espaces, notes et bibliographie compris). Le titre est constitué des références du document ou des événements rapportés.
3) Les Débats
Cet espace d’échanges est nourri par des réponses et des commentaires aux comptes rendus publiés dans les numéros précédents ou par l’expression de points de vue situés et argumentés sur un élément d’actualité ou une thématique de dossier. Il a pour objectif d’alimenter le débat scientifique dans notre discipline.
Les Débats n'excèdent pas les 20 000 signes (espaces, notes et bibliographie compris). Leur titre prend généralement la forme de « Réponse à ... » ou énonce une thèse.
Consignes d’envoi
Les textes doivent être envoyés au secrétariat général à l’adresse suivante : lectures.anthropologiques@gmail.com au format .doc ou .docx, sans feuille de style. Pas de fichier PDF. Le fichier doit être nommé : « Nom de l’auteur/autrice_Titre abrégé du document analysé.doc ». Exemple : Durand_Terrain.doc
Typographie et format
Consignes de présentation
– L’auteur/L’autrice doit indiquer au début de son texte, dans cet ordre :
- le titre proposé de l’article
- ses coordonnées : prénom, nom, courriel.
- une notice biographique en français comprenant notamment les institutions de rattachement
- un résumé de son texte, en français et en anglais
- cinq mots-clés en français et en anglais. Les mots-clés seront donnés au singulier (sauf si le pluriel est significatif), en minuscules, séparés par des virgules, sans autre ponctuation. Seuls les noms propres prennent une majuscule. Les noms de personnes seront présentés sous la forme Nom Prénom
– Les textes doivent être en police Times New Roman corps 12, interligne simple. Le texte est présenté en corps justifié, sans retrait ni alinéa, sans feuille de style.
– Les notes sont présentées en numérotation continue, en bas de page, police Times New Roman corps 10.
– Les citations doivent systématiquement être mises entre guillemets français (« - »). Les italiques éventuels figurant dans les passages cités sont à conserver.
– Les références bibliographiques ne doivent qu’exceptionnellement excéder la dizaine d’ouvrages ou d’articles.
Présentation des références bibliographiques
1) Dans le texte :
Les références bibliographiques dans le cours du texte sont données entre parenthèses :
Pour citer le document analysé :
(p. XX)
Pour citer un autre document :
Un auteur : (Duchemin 2001) (Duchemin 2001 : XX) (Duchemin 2001 : XX-XX) (Duchemin 2001 : XX et suiv.)
Deux auteurs : (Dupont et Dubois 2003)
À partir de trois auteurs : (Durand et al. 2006)
Si l’auteur est cité dans le corps du texte, l’année seule est entre parenthèses : Dupuche (2012)
2) Dans la bibliographie finale
Livre :
Lévi-Strauss Claude, 1996 [1973], Anthropologie structurale. Deux. Paris, Plon, Pocket.
Livre collectif :
Gosselin Gabriel (dir.), 1993, Les nouveaux enjeux de l’anthropologie. Autour de Georges Balandier. Paris, L’Harmattan, Logiques sociales.
Chapitre de livre :
Althabe Gérard, 1993, « Vers une ethnologie du présent », in Gabriel Gosselin (dir.), Les nouveaux enjeux de l’anthropologie. Autour de Georges Balandier. Paris, L’Harmattan, Logiques sociales, pp. 89-98.
Article :
Agier Michel, 2012, « Penser le sujet, observer la frontière. Le décentrement de l’anthropologie », L’Homme, n° 203-204, pp. 51-76.
Armstrong Philipp, 2002, « The postcolonial animal », Society and Animals, vol.10, n°4, pp. 413-419.
Article en ligne :
Berthod Marc Antoine, 2007, « Penser la terreur, l’horrible et la mort : entretien avec Talal Asad », ethnographiques.org, n° 13 — juin [en ligne], http://www.ethnographiques.org/2007/ Berthod (consulté le 21.06.2014).
Écriture inclusive
Vous êtes libre d’utiliser ou non l’écriture inclusive. Lorsque l'écriture inclusive est utilisée, cela doit impérativement être appliqué à l'ensemble du texte. Les usages sont les suivants :
User du féminin et du masculin dans la mesure du possible (les électeurs et les électrices, les auteurs et les autrices) ou utiliser un mot épicène (mot identique pour les deux genres, par exemple gestionnaire, stagiaire, responsable de service) ou utiliser des mots collectifs ou génériques (les personnes, le personnel, les membres, la population, les équipes de recherche, etc.).
Prendre en compte l’ordre alphabétique en cas de juxtaposition de deux termes : les femmes et les hommes.
Adopter l’accord de proximité (les atouts et les faiblesses sont inégalement réparties). Si cela vous gêne ou que vous pensez que votre lectorat interpréterait cela comme une faute, mettre d’abord le féminin puis le masculin (vous êtes toutes et tous concernés).
Si aucune alternative n’est possible ou pour simplifier le texte, il est d’usage d’employer le tiret (ou point médian) (un-e chef-fe de projets) pour rendre les deux genres visibles. Au pluriel : un seul tiret avant le féminin (les enquêté-es). Préférer dans la mesure du possible l’usage d’un mot épicène. Par exemple : les personnes enquêtées.
L’accord grammatical du pronom iel n’étant toujours pas défini, nous recommandons de ne pas l’utiliser.
Ces questions récentes d’écriture sans stéréotype de genre sont néanmoins amenées à évoluer rapidement. Si ces propositions s’avéraient obsolètes au moment de votre rédaction, nous vous invitons à vous référer à ce guide : https://divergenres.org/wp-content/uploads/2021/04/guide-grammaireinclusive-final.pdf